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Le Miso, en tant qu'aliment aux très nombreuses propriétés fonctionnelles, depuis plusieurs dizaines d'années, a été l'objet de recherches et d'observations scientifiques contribuant à démontrer sa capacité à collaborer exceptionnellement au maintien et à l'amélioration de la vitalité et de la santé.
Les recherches sur les propriétés anticancérigènes du miso sont très nombreuses, notamment au Japon et aux États-Unis.
Le miso peut jouer un rôle important dans la prévention du cancer du sein. Il aurait notamment des effets antitumoraux potentiels lorsqu’il est combiné avec la tamoxifène, un des agents utilisés en hormonothérapie pour traiter cette maladie.
L’Institut National de Recherche sur le Cancer du Japon va plus loin, dans une étude menée sur plus de 21 850 femmes pendant 10 ans et affirme que la consommation de deux portions de miso par jour réduit de 50 % le risque de cancer du sein.
Le miso contient, entre autres, des mélanoïdines, groupe de mélanines végétales qui tendent à stopper la croissance des cellules cancéreuses, d'après des observations sur des cellules de carcinome du côlon.
D'autres observations montrent que la consommation régulière de miso de longue fermentation pourrait agir comme agent de prévention des cancers gastriques.
En 1972 des chercheurs japonais découvrent que le miso contient de l'acide dipicolinique, un alcaloïde qui offre la particularité de chélater les métaux lourds tels que le strontium radioactif, le plomb, le mercure, le cadmium... et de les éliminer par les voies urinaires, alors que l'hypothèse avait déjà été énoncée en 1945, suite à la catastrophe de Nagasaki. Cette découverte fit la Une des grands journaux japonais. Depuis, les autorités des grandes villes japonaises ont recommandé aux agents de la circulation - ceux qui règlent le trafic des voitures aux grandes intersections - de prendre leurs 2 bols de soupe au miso quotidiens, afin de favoriser l'élimination des polluants auxquels ils sont exposés. Depuis, d'autre études ont été menées sur cette question. En 2001, on a observé que plus la fermentation du miso était longue et plus il offrait une protection efficace contre les radiations.
Chélation : Processus physicochimique qui conduit à la formation d'un complexe entre un ion métallique positif et une substance organique. Le complexe résultant étant stable, inactif, non toxique, soluble et facilement éliminé par voie rénale, la chélation constitue une méthode thérapeutique ayant un intérêt pour éliminer des substances indésirables ou nocives de l'organisme. Ainsi, elle trouve notamment des applications pour l'élimination des substances radioactives nocives, de même que dans le traitement des intoxications par les métaux ou de certaines maladies caractérisées par une accumulation de métaux dans l'organisme (maladie de Wilson, hémochromatose, par exemple). Enfin, la chélation peut également faciliter l'absorption et l'élimination des minéraux dans les suppléments qui en contiennent. (Source : le Grand Dictionnaire Terminologique.)
Peu importe le nombre de fois que l'on consomme du miso non pasteurisé, celui-ci agit sur le fonctionnement du système gastro-intestinal à chaque fois. En effet, son contenu en plus d'une cinquantaine d'enzymes différentes (digestives, entres autres), en lactobacilles et autres micro-organismes utiles en font un aliment qui: