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Les dangers des anticoagulants

Les dangers des anticoagulants

Faisant partie des « mort-aux-rats » extrêmement toxiques, les anticoagulants sont les molécules qui empêchent la formation de caillots sanguins. Selon les médecins, le rapport bénéfice/risque des anticoagulants demeure favorable sous réserve du respect du bon usage de ces médicaments. Qu’en est-il de la vérité, vraie ?

Qu’apportent les anticoagulants ?

Les anticoagulants sont couramment utilisés pour soigner les thromboses (obstruction d’une veine) et les embolies (occlusion d’une artère pulmonaire ou cérébrale). Ils sont également  indiqués en prévention de ces maladies, par exemple, en cas de port de prothèse de la valve cardiaque, de la hanche ou du genou. Parallèlement, le fait de donner un anticoagulant au patient permet de réduire le risque d’un infarctus ou d’un AVC.

Que sont les « anti-vitamines K » (AVK) ?

Connus sous abrégé AVK,  les « anti-vitamines K » sont les anticoagulants les plus utilisés. Ils agissent en s’opposant à l’action de la vitamine K, nécessaire à la coagulation sanguine. C’est la raison pour laquelle ils ont baptisés « anti-vitamines K » ou « AVK ».  Sintrom, Préviscan et Coumadine sont les AVK les plus prescrits.

Quels sont les effets secondaires des AVK ?

Parmi les effets secondaires des AVK citons la fatigue chronique, la pâleur inhabituelle, les nausées fréquentes, la perte importante d’appétit, l’amaigrissement maladif, la chute accélérée de cheveux. La prise prolongée de ces médicaments est associée à un risque accru de saignement, responsable de 4 000 décès et 17 000 hospitalisations par an.

Peut-on prendre les compléments alimentaires en même temps que les AVK ?

Effrayées par les effets secondaires des anticoagulants, de nombreuses personnes se tournent vers des traitements alternatifs. Cependant, les dangers de l’automédication sont multiples. Certains suppléments alimentaires tendent à inhiber l’action des anticoagulants (millepertuis, pousses de brocoli, artichaut, coenzyme-Q10, vitamine C, glucosamine), alors que d’autres (ail, ginkgo biloba, matricaire, saule blanc, reine des prés, cannelle, aspérule odorante, oméga-3, vitamine E) accroissent cette même action avec un risque accru de saignement.

Ainsi, la prise conjointe d’anticoagulants et de suppléments alimentaires nécessite une surveillance médicale par prélèvement de sang. Il est donc obligatoire de passer régulièrement un test sanguin appelé INR (International Normalized Ratio = Rapport International Normalisé). Les résultats doivent se situer entre 2 et 3 pour une personne ayant un traitement anticoagulant de type AVK  et prenant simultanément l’un des compléments alimentaires cités ci-dessus. Au-delà de 5, le sang est trop fluide. Cela signifie que le risque de sainement est devenu  important. Au-dessous de 2, le sang est trop visqueux. C’est-à-dire le risque d’obstruction des vaisseaux est accru. Il faut donc contacter votre médecin traitant : en fonction des résultats sanguins et des manifestations cliniques, il prendra les mesures nécessaires. Celles-ci peuvent aller de la simple suppression de supplément à l’ajustement de dose de médicament. Sachez que la valeur de votre IRN est mentionnée sur votre carnet d’anticoagulant (carnet de surveillance). Vous devez montrer ce document à chaque consultation médicale !

Quelles sont les règles à respecter ?

-Prenez votre anticoagulant toujours à heure fixe.

-Consultez d’urgence votre médecin en cas d’un saignement du nez ou des gencives, d’urines sanglantes, de selles goudronneuses, de bleus et d’éruptions cutanées.

– Ne prenez pas d’autres médicaments sans l’accord préalable de votre médecin.

– Ne modifiez jamais la dose d’un anticoagulant sans avis médical.

– Evitez dans la mesure du possible toutes les piqûres (acupuncture, piercing), les coupures et les blessures.

– Surveillez de près votre alimentation.

Quels sont les aliments à éviter ?

De nombreux aliments interfèrent avec les anticoagulants. Il s’agit des abats, des fromages fermentés, des choux (chou-fleur, chou de Bruxelles, chou rouge, brocoli, choucroute), de l’épinard, du cresson, du fenouil, de la laitue, des asperges vertes et des pistaches. En effet, ces produits sont riches en vitamine K, qui joue un rôle majeur dans la fabrication des facteurs de coagulation dans le foie. La vitamine K interfère avec des anticoagulants, en inhibant leur action.

Quelle est la différence entre un anticoagulant et un antiagrégant plaquettaire ?

Un antiagrégant plaquettaire, comme son nom l’indique, empêche l’agrégation (agglutination) des plaquettes sanguines, en les rendant moins collantes. Il diminue ainsi la vitesse de formation des caillots capables d’obstruer des artères et potentialise souvent l’action d’un anticoagulant. Les antiplaquettaires les plus utilisés sont Kardegic, Aspirine et Plavix.

Pourquoi et comment détartrer votre glande pinéale

Pourquoi et comment détartrer votre glande pinéale

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La glande pinéale pourrait être la partie la plus importante de votre système nerveux tout entier. Il s’agit essentiellement d’une antenne spirituelle, votre équivalent physique d’un troisième œil.

Il est essentiel pour atteindre des niveaux plus élevés de conscience tout en restant dans un corps physique.

La glande pinéale se trouve au centre géométrique du cerveau. Elle est creuse et rempli d’un fluide contenant des cristaux.

La calcification fait en sorte que les cristaux dans la glande s’attachent aux dépôts de minéraux. Ainsi, les cristaux ne peuvent plus exercer leur propriété de piézoluminescence.

Les effets de la calcification sont la dépression, l’anxiété, la boulimie/anorexie, la schizophrénie et d’autres formes de maladies mentales. La calcification vient aussi perturber la sécrétion de la mélatonine.

La mélatonine, souvent dénommée hormone du sommeil, est surtout connue comme étant l’hormone centrale de régulation des rythmes chronobiologiques, et d’un certain point de vue, de pratiquement l’ensemble des sécrétions hormonales.(…) Elle est sécrétée par la glande pinéale en réponse à l’absence de lumière. La mélatonine semble avoir de multiples fonctions, autres qu’hormonales, en particulier comme antioxydant (anti-cancer). Elle semble aussi jouer un rôle dans le système immunitaire.

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L’image nous montre le dieu ailé sumérien Enki avec un cône de pin dans la main. On retrouve dans beaucoup de cultures la symbolique du cône de pin représentant la glande pinéale (siège de l’âme).

La calcification de la glande pinéale est causée principalement par le fluorure qui circule dans notre sang.

Le fluorure vient des pâtes à dents, de l’eau du robinet et de l’eau en bouteille, dans certains aliments, des médicaments psychotropes comme le prozac qui est aussi appelé fluoxétine et qui contient 30% de fluorure. La glande pinéale contient la plus grande concentration de fluorure dans le corps.

Calcification …?

Malheureusement, pour la plupart des gens, la glande pinéale est fortement entartrée. Tant et si bien qu’elle apparait comme un morceau de calcium lors d’une IRM. Alors, quelle est la calcification, et quelles en sont les causes?

La calcification est l’accumulation de cristaux de phosphate de calcium dans diverses parties du corps. C’est un processus naturel causé par les nanobactéries primaily. les Nanobactéries sont des microorganismes qui forment de minuscules coquilles de phosphate de calcium autour d’eux, essentiellement pour se protéger de votre système immunitaire. Il ressort de la dernière recherche que cela peut être la cause de la plupart des maladies.

De l’arthrite, aux accidents vasculaires cérébraux, du cancer aux maux de dos. Grâce au système alimentaire SAD (standard régime américain) horribles, la plupart des gens sont exposés à beaucoup plus de ces organismes que jamais, et que non seulement, sont calcifiées par d’autres moyens aussi.

Eau, alimentation et mode de vie

Les principales causes de calcification comprennent:

  • - Fluorure (magnétiquement attiré par la glande pinéale où il forme des cristaux de phosphate de calcium plus que partout ailleurs dans le corps).
  • -Suppléments de calcium (de loin la principale cause de la calcification. Si votre médecin vous recommande de les prendre, je vous recommande d’arrêter immédiatement)
  • - D’autres halogénures comme le chlore et le bromure.
  • - Le calcium dans l’alimentation (presque tous les aliments transformés contiennent une certaine forme de calcium0.
  • -  Eau du robinet (l’eau du robinet est rempli avec de substances calcifiantes).
  • - Eau de source (distillée elle peut être nocive à long terme (même si c’est beaucoup mieux que l’eau du robinet).

La détox de la glande pinéale

Options de détoxication naturelles pour du fluorure de sodium et les métaux lourds

Zéolite

Les zéolithes sont des minéraux présents dans les fonds marins anciens et de roches volcaniques. Les molécules en forme de nid d’abeilles de zéolite ont la capacité de capturer les toxines métalliques de tous types et en toute sécurité les transporter hors du corps. (Pas tous les produits de zéolite sont égaux, alors assurez-vous d’obtenir une grande qualité.)

Argile de bentonite

Comme zéolite, de l’argile bentonite contient des ions négatifs qui attirent les ions positifs de toxines et pathogens. Vous pouvez faire tremper dans un bain d’argile ou de prendre l’argile bentonite de qualité alimentaire à l’intérieur. (Notez que les bains d’argile ne sont peut être pas la meilleure option si vous avez une maladie cardiaque.)

Chlorella

Une série d’études cliniques montrent que la qualité fibreuse de la chlorelle se lient aux métaux toxiques et les débusque. Vous pouvez prendre des capsules ou faire des smoothies avec de la poudre de chlorella. Le goût est assez agréable.

Coriandre

Cette plante polyvalente culinaire, utilisé couramment dans la cuisine mexicaine contribue également à l’élimination des métaux lourds. Pesto à la coriandre a été utilisé efficacement pour la thérapie de chélation par beaucoup.

Magnésium

Le magnésium possède la capacité d’inhiber l’absorption de fluorure dans nos cellules, donc lors de l’embarquement sur un detox de métal et de fluorure, assurez-vous que vous avez trouvé une bonne dose quotidienne de magnésium à partir d’une source de grande qualité, comme cela facilitera grandement vos efforts désintoxication.

Homéopathie

En prenant également homéopathique Boiron Borax 30, à granules, 80 ct -. 5 pilules http://amzn.to/x5mqpp jour 3x désintoxication de la glande pinéale.

En conséquence, le nettoyage de votre corps de la pollution par les métaux lourds et le fluorure de sodium ne sera pas seulement capable d’aider à normaliser votre production de mélatonine, mais permettra également d’améliorer votre fonction cognitive et augmenter vos niveaux de vitalité.

Platon, Descartes, Pythagore et bien d’autres pensaient que la glande pinéale était le siège de l’âme.

La glande pinéale a la forme d’un cône de pin, d’où son nom qui vient du latin « pinea » qui veut dire « pin ».

Techniquement, la glande pinéale ne fait pas partie du cerveau. Elle n’est pas protégée par la barrière hémato-encéphalique, en fait, elle reçoit plus de sang que tous les autres organes à l’exception des reins. Comme elle n’est pas protégée du flux sanguin, elle accumule des dépôts minéraux, aussi appelé « sable cérébral ». Avec le temps, ce sable s’accumulation et produit la calcification de la glande, rendant opaque et visqueux le fluide à l’intérieur de la glande.
Il est aussi connu que l’intérieur de la glande pinéale contient des cellules photosensibles (qui perçoivent la lumière). On sait aussi que les mini cristaux à l’intérieur de la glande ont une propriété de piézoluminescence. Ceci signifie que lorsqu’on applique une pression sur les cristaux, ils émettent de la lumière. On ne sera pas surpris d’apprendre que, dans la mythologie védique, on associe cette glande au troisième oeil. Notez que la glande pinéale gère les cycles d’éveil et de sommeil.

On a découvert récemment qu’en fait la glande pinéale est un puissant récepteur, mais que ce sont d’autres zones du cerveau qui décodent les informations reçues, telles que le cortex frontal cérébral. Sans cette interaction, les informations reçues ne pourraient pas être comprises. Elle joue un rôle vital au niveau du sommeil et de la sexualité et donc de la reproduction.

La glande pinéale capte ainsi des vibrations du spectre électromagnétique traduisant nos émotions, nos pensées ou celles des esprits, voire celles d’autres personnes au moyen de la télépathie. Ce qui a éveillé l’intérêt des scientifiques qui ont mis en lumière des fonctions en relation avec la physique et les phénomènes paranormaux… tels que les transes médiumniques .

Les médiums captent un grand nombre d’informations. Ces informations sont enregistrés par le thalamus (zone du cerveau qui enregistre les activités sensorielles). La personne ne comprend pas beaucoup les choses qu’elle capte mais, son corps y réagit. (La liste des réactions peut être vaste, par exemple : en présence d’une âme errante, avoir une sensation dans la nuque, maux de ventre, emballement du coeur, fatigue soudaine, sensation de vertige ..)

Lors des états de dédoublement que vit le médium, celui ci développe une plus grande activité : il capte les sensations d’autrui. Il est parfois difficile pour le médium, de distinguer son sentiment individuel de celui qu’il a pu capter. Des personnes peuvent alors être confuses quant à leur propre identité, surtout si elles ignorent être médium. Ce sont généralement des personnalités critiques, autocritiques, anxieuses voire dépressives.

Nazis, fluor et contrôle des cerveaux

Et vous pensiez que tout ce que le gouvernement fait, il le fait pour vous ? Vous devriez changer d’idée.…..La première fois que de l’eau potable a été fluorée, c’était dans les camps de concentration de l’Allemagne nazie. La Gestapo ne pensait pas aux présumés bienfaits du fluor sur les dents des enfants. Du fluorure de sodium était ajouté à l’eau afin de rendre les humains stériles et forcer les prisonniers des camps de concentration à demeurer dociles. (Source : The Crime and Punishment of I.G. Farben – Le crime et la sentence de I.G. Farben de Joseph Borkin).

L’ingestion régulière de quantités infinitésimales de fluor réduit la capacité d’une personne à résister à la domination en empoisonnant et en intoxiquant lentement une certaine partie du cerveau. Cette personne devient donc soumise à la volonté de ceux qui désirent la gouverner.  » (Une lobotomie légère et pratique).

L’eau n’est pas fluorée pour améliorer la santé dentaire des enfants. Si c’était la raison véritable, cela pourrait se faire beaucoup plus facilement à des coûts moindres et de façon plus efficace. La fluoration de l’eau a comme but véritable de contrôler et dominer la population plus facilement et de lui faire accepter la perte des libertés individuelles.

Quand les Nazis d’Hitler ont envahi la Pologne, les États-majors allemand et russe ont discuté de science et de guerre et ils ont échangé des idées, des plans et du personnel. Le projet de contrôler la masse par la contamination de l’eau a particulièrement intéressé les communistes russes qui y voyaient une façon idéale d’imposer le communisme au monde entier.

Selon les chimistes, les mélanges d’eau et de fluorure de sodium sont les plus efficaces et les moins coûteux pour tuer les rats : sans couleur, sans odeur, sans goût ; pas d’antidote, pas de remède, pas d’espoir : une extermination complète et instantanée des rats.

« La fluoration de l’eau peut être un suicide national lent ou une liquidation nationale rapide. C’est de la folie criminelle. Une trahison ! » E.H. BRONNER, Ingénieur chimiste, Los Angeles.

Alimentation et glande pinéale

Notre glande pinéale autrement connue comme notre glande maîtresse, régit notre troisième œil et est le centre de la conscience psychique dans l’esprit humain. Elle est de la taille d’un pois et se situe dans une grotte située derrière la glande pituitaire. Elle produit naturellement une hormone mélatonine qui régule appelé les rythmes du corps quotidien qui traitent directement avec le jour et les cycles de la nuit.

Développer et élargir la fonction et l’énergie de votre glande pinéale est extrêmement important car elle affecte tous les systèmes de votre corps physique et a le potentiel de déterminer l’expansion ou la contraction de votre conscience psychique.

La lumière du soleil est extrêmement importante pour la glande pinéale. Le soleil est une forme de nourriture. La lumière du soleil peut être prise et digérée par les yeux, peau, cheveux, poils de nez et les oreilles et doit être consommé pendant au moins 30 minutes par jour.

Les légumes, ainsi que les algues séchés au soleil contiennent des quantités élevées de vitamine D etde nombreuses vitamines du groupe B et de l’iode. Les légumes à feuilles vert foncé sont extrêmement nourrissants pour la glande pinéale. Cette glande absorbe les propriétés de la couleur verte des légumes et les distribue à des systèmes appropriés de l’organisme afin que le corps soit bien nourri.

Les bons aliments peuvent influer positivement sur votre glande pinéale, mais vous pouvez également activer votre glande pinéale en mangeant plus d’aliments crus, ou en achetant une machine à ozone pour votre maison qui aidera à la purification de l’air ambiant.

La sérotonine

Autant que la glande pinéale besoin de lumière, elle doit également produire de la sérotonine suffisante pour être activée afin qu’elle puisse augmenter sa conscience psychique. Or, la sérotonine est produite lorsque le cerveau est endormi. Il est donc conseillé de dormir dans une chambre très sombre, car c’est extrêmement nourrissant pour la pinéale…

Un déséquilibre de sérotonine peut provoquer un état anxieux, et un goût excessif pour le sucré.

Pour synthétiser de la sérotonine, nous avons besoin d’un acide aminé de l’alimentation, le tryptophane. Nos cellules nerveuses le transforment en sérotonine. Plus il y en a, plus les neurones produisent de sérotonine. Mais pour des raisons d’ordre génétique, ou parce que l’alimentation n’apporte pas toujours suffisamment de tryptophane, la synthèse de sérotonine peut être insuffisante, entraînant une dépendance vis-à-vis du sucré, qui toucherait une personne sur trois. Ceci se traduit par de l’irritabilité voire de l’agressivité, des états de déprime, des difficultés à trouver le sommeil, et une attirance excessive pour le sucré qui toucherait une personne sur trois.
Les aliments riches en tryptophane sont souvent associés à des graisses, les femmes ont tendance à les écarter spontanément de leur régime. Elles ont aussi tendance à diminuer les calories qu’elles ingèrent. Cela n’est pas une solution.

Les aliments qui produisent naturellement la sérotonine sont:

Les amandes, les bananes, les piments, le riz, les pommes de terre, les aubergines, les avocats, les haricots, les lentilles, et certains fruits comme les tomates, les dattes, les noix et les prunes mais aussi les acides gras de la famille Oméga 3 qui facilitent l’action de la sérotonine au niveau cellulaire. On les trouve dans les huiles de colza, de lin, de canola, de noix,dans les graines de lin et de chanvre et aussi les poissons gras (maquereau, sardine, saumon).

Ce qu’il faut éviter: Les boissons gazeuses en général.

Consommer des produits animaux, les viandes surtout et le poisson, possèdent souvent des quantités élevées de mercure…

En conclusion

Pour finir brièvement sur la glande pinéale, celle-ci semble être notre lien avec l’univers, la « matrice », le « champs » comme le nommait Einstein, ce champs qui fait de nous ce que nous sommes : UN.

C’est d’ailleurs à travers cette glande pinéale que nous allons chercher nos souvenirs. Nous découvrons ainsi que notre mémoire n’est pas située dans notre cerveau ! Mais que celui-ci n’est qu’un récepteur telle une antenne radio très perfectionnée qui va chercher (entre autres) nos souvenirs, dans le « champs ». Ce champs, cette map universelle qui nous lie tous les uns les autres…Le WEB morphogénétique ….

L’homme est donc capable d’intéragir avec ce champs à de nombreuses occasions : télépathie, télékynésie…

La théorie de Gregg Braden veut que nous ne sommes pas (comme il était considéré jusqu’à présent) juste des observateurs des évènements qui surgissent dans nos vies, comme si le destin l’avait décidé pour nous, mais que la perception que nous avons, avec notre vue, notre toucher, notre goût, notre odorat ou notre ouïe n’est que la perception du monde que nous avons décider d’ériger devant nous. Nous devenons donc des « participateurs ».

Le système de contrôle du mental humain

Certains diront que cela a un rapport avec les lois de l’attraction. En fait, oui…. et non. Car la loi d’attraction est avant tout une façon de nous amener à construire notre monde physique grâce à notre comportement et nos pensées. Mais, d’un point de vue social, la loi d’attraction est, en effet, redoutable. Car, si le principe qui implique le champs morphogénétique va jusqu’à la matérialisation de notre environnement par notre seule volonté, il oublie que nous sommes en fait tous téléguidés sous l’effet de lignes de forces ou lignes de prédation qui nous relient certains à d’autres, en fonction des résonances de leurs mémoires cellulaires cristallisées…

« Ces champs de force de l’enfermement sont entretenus, comme vous le savez, hélas, par la pensée humaine, par les croyances, par tout ce que vous créez, par l’animosité, par le manque d’humilité, par le manque de simplicité, par la peur, par le besoin de contrôler les autres ou l’autre dans sa famille, son mari, sa femme, ses enfant« . ( O.M. AÏVANHOV, canalisé par Jean Luc Ayoun le 4 septembre 2012)

Le système de contrôle du mental humain est entretenu par l’ensemble des croyances, par le karma, par l’ADN, mais aussi par notre comportement. Et sommes-nous toujours complètement conscient de ce comportement ?Nos pensées ne sont pas les nôtres … !

Le détartrage de la glande pinéale semble être la solution la plus simple pour sortir du « Pilotage Automatique » auquel nous sommes soumis par nos choix d’incarnation. Et « ils » le savent, sinon on aurait pas de fluor dans l’eau du robinet …. !

« En septembre 2005, le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec demandait à toutes les villes de la province de fluorer l’eau potable, soi-disant « pour prévenir la carie dentaire chez les enfants défavorisés ». http://www.qve.qc.ca/afq/FAQ.htm

Et la France n’est pas en reste, bien au contraire ! le fluor dans l’eau

Modes d’élimination du fluorure de l’eau selon:

Le Petit Monde de Cozillon

  • Inverser la filtration par osmose
    Il est utilisé pour purifier plusieurs types d’eau embouteillée (pas tous), de sorte que certaines eaux en bouteille sont non fluorées. Systèmes à osmose inverse sont généralement inabordables pour un usage personnel.
  • Défluoruration alumine activée filtre
    Ces filtres sont utilisés dans des endroits où la fluorose est répandue. Ils sont relativement coûteux (prix le plus bas que j’ai vu était 30/filter $) et nécessitent un remplacement fréquent, mais qui offrent une option pour la filtration de l’eau à domicile.
  • Distillation de filtration
    Il existe dans le commerce des filtres disponibles de distillation qui peuvent être achetés pour enlever le fluor de l’eau. Sur le même sujet: Quand on regarde l’eau en bouteille, garder à l’esprit que «l’eau distillée» ne signifie pas qu’un produit est adapté à l’eau potable et d’autres impuretés indésirables peuvent être présents.

Ce qui n’enlèvent pas le fluor

  • Brita, Pur, et la plupart des autres filtres.
    J’ai vérifié la description des produits sur les sites Web des entreprises pour confirmer que le fluorure est laissé dans l’eau.
  • D’ébullition de l’eau
    Il portera le fluorure plutôt que de le réduire.
  • La congélation de l’eau
    l’eau de congélation n’affecte pas la concentration de fluorure.

Mesures pour réduire l’exposition au fluorure

  • Ne prenez pas de suppléments de fluor.
  • Lisez les étiquettes sur les boissons en bouteille.
  • Utiliser un dentifrice non fluorées.
  • Évitez de boire du thé rouge ou noir.
    Il ya de nombreux bienfaits associés à des composés chimiques présents dans le thé, mais cela peut être une boisson à éviter si vous avez besoin pour réduire votre consommation de fluor. Noir et thé rouge proviennent de deux types différents de plantes, mais les deux feuilles contiennent naturellement des quantités élevées de fluor.
  • Méfiez-vous des conserves de poisson et des produits alimentaires en conserve.
    Le fluorure peut être utilisé comme conservateur.
  • Éviter les articles contenant de sel gemme rouge ou noir.
  • Éviter l’utilisation à long terme du médicament qui contient du fluor.

La glande pinéale est la clé vers l’illumination

Le chercheur en psychédélique Dr Rick Strassman a expliqué comment la glande pinéale « est plutôt active pour synthétiser des composés relatifs à la sérotonine, un important neurotransmetteur dans le cerveau. Les neurotransmetteurs sont les messagers chimiques permettant la communication entre les cellules nerveuses individuelles.

La plupart des drogues psychédéliques typiques, tels que le LSD, la mescaline, la psilocybine et le DMT sont actifs dans les régions du cerveau également affectées par la sérotonine. De plus, la plupart de ces drogues sont similaires dans leur structure chimique à la sérotonine.

Et si on parlait du cannabis ?

Une nouvelle étude des textes bibliques révèle que le « Kanehbosem », ou Cannabis, était utilisé dans les huiles d’onction et l’encens que Jésus utilisait au cours des cérémonies et rituels de guérison.

Au sujet de l’utilisation du cannabis dans l’Ancien Testament Carl P. Ruck explique :« Il y a peu de doute au sujet du rôle du cannabis dans la religion judaïque… il n’y a pas de plus importante plante comme source de fibres pour les textiles et les huiles nutritives et aucune aussi facile à faire pousser… » Ruck parle ensuite de la continuation de cette pratique dans la période primitive chrétienne « de manière évidente, la profusion du cannabis et une longue tradition établie au sein du judaïsme ne peuvent que conduire à ce qu’elle soit incorporée dans les préparations des premiers chrétiens.

Bien que la plupart des individus de notre époque choisissent de fumer ou d’ingérer le cannabis, les ingrédients actifs de cette plante peuvent être transférés dans une huile, et peut être absorbée au travers de la peau, qui est, en fin de compte, un grand organe. Dans le Nouveau Testament, Jésus ne baptisait aucun de ses disciples comme cela est pratiqué aujourd’hui par l’Eglise Catholique, mais plutôt il les consacrait avec une huile enthéogène puissante, envoyant les douze apôtres faire de même… « Et ils rejetèrent de nombreux démons, et ils oignirent d’huile ceux qui étaient malade, et ils les soignaient » (Marc 6 :13).

Le cannabis thérapeutique :

* Marinol (dronabitol) : prescrit pour les traitements des nausées et des vomissements liés à la chimiothérapie, ainsi que pour stimuler l’appétit chez les malades du sida ;
* Cesamet (Nabilone) : prescrit pour les traitements des nausées et des vomissements liés à la chimiothérapie ;
* Sativex : prescrit comme anti-douleur pour la sclérose en plaques.

Il peut aussi être prescrit à l’état naturel afin d’être consommé en tisane ou par inhalation de vapeur de THC sublimé, là encore sa prescription la plus courante reste relative aux malades en phase terminale.

De nombreuses études – plus ou moins significatives – existent ou sont en cours sur ses qualités thérapeutiques.

* Il est question de propriétés :
o analgésiques : malades en phase terminale et pour les douleurs chroniques résistantes aux traitements traditionnels ;
o relaxantes et somnifères : malades en phase terminale ;
o anti-spasmodiques : sclérose en plaque, épilepsie ;
o anti-vomitives : traitement des effets secondaires de la chimiothérapie ou d’autres traitements lourds ;
o stimulant l’appétit et redonnant du plaisir à manger : lutte contre cachexie (maigreur extrême) et favorise la prise de poids ;
o broncho-dilatatrices : asthme ;
o vaso-dilatatrices : glaucome.
* D’autres études suggèrent que le cannabis pourrait être :
o une alternative efficace pour le prurit cholostatique réfractaire ;
o un agent thérapeutique contre des maladies neuro-dégénératives et la dystonie (perturbation du tonus musculaire) tels que la maladie de Parkinson ou le syndrôme de Gilles de la Tourette ;
o un agent anti-prolifératif : rémission de tumeurs cancéreuses au cerveau (ainsi que ralentissement de la progression de certains cancers du poumon, sein et de la leucémie) ;
o un agent inhibant les sécrétion d’acide gastrique et avoir un rôle favorable sur les ulcères ;
o un agent améliorant les troubles comportementaux des patients atteint de la maladie d’Alzheimer. (Wikipedia)

Pour finir :

Pour détartrer votre pinéale, mangez sain et cru, plutôt végétarien, usez du coriandre dans toutes vos salades assaisonnées à l’huile de colza et buvez du thé vert au cannabis ….

Enjoy ….

Lire aussi :

- Les cristaux de la glande pinéale
- L’histoire occulte du cannabis dans l’Ancien et le nouveau Testament
 

Milena@OR

Vous pouvez reproduire ce texte, dans son intégralité en citant le nom de l’auteur et sa source : http://ww w.elishean.fr/

ChlorellaWikipedia: Chlorella is a genus of single-cell green algae, belonging to the phylum Chlorophyta.

Boire du lait ne protège pas des fractures : nouvelles preuves

Boire du lait ne protège pas des fractures :

nouvelles preuves

Les adolescents qui boivent beaucoup de lait n’ont pas moins de fractures à l’âge adulte. Il y en a même plus chez les hommes. Conclusions d’une nouvelle grande étude prospective.

Marc Gomez – Jeudi 21 Novembre 2013, pour http://www.lanutrition.fr
Boire du lait ne protège pas des fractures : nouvelles preuv...

Les autorités sanitaires, l’industrie laitière et les nutritionnistes qui lui sont proches continuent de promouvoir la consommation de lait de vache dès l’enfance pour favoriser un prétendu  « pic de masse osseuse » et réduire, assurent-ils, le risque de fracture à l’âge adulte.

En réalité, les faits sont têtus et il n’existe aucune preuve que le lait prévient les fractures. Thierry Souccar, dans Lait, mensonges et propagande et plus récemment Le mythe de l’ostéoporose a exposé les données scientifiques montrant que le discours tenu par l’industrie laitière et ses amis en faveur des 3 à 4 laitages par jour relève de la pure propagande.

Une nouvelle grande étude prospective qui a suivi pendant 22 ans plus de 96 000 hommes et femmes âgés de 50 ans issus de l’Etude des Infirmières et de l’Etude de suivi des professionnels de santé, vient renforcer ses affirmations et affaiblir un peu plus la position des autorités sanitaires et des nutritionnistes amis de l’industrie laitière.

Les chercheurs de Harvard ont cherché à établir une association entre la consommation de lait dans l’adolescence et le risque de fractures plus tard dans la vie.

Résultats : après contrôle des facteurs de risque connus, chaque verre supplémentaire quotidien de lait au cours de l’adolescence était associé à un risque significativement plus élevé de fracture de la hanche chez les hommes. Chez les femmes, la consommation de lait n’était associée ni à une augmentation du risque de fracture, ni à une diminution de ce risque.

Conclusion des chercheurs : la consommation de lait à l’adolescence n’est pas associée à un risque plus faible de fractures, et pourrait même être liée à un risque plus élevé chez les hommes.

Cette information, parfaitement conforme aux données accumulées depuis des décennies, est reçue comme une « surprise » par les médias français. Il est vrai qu’ils ont une longue tradition de relais du discours des industriels.

L’analyse de LaNutrition.fr. Sachant que, selon une étude récente, les hommes qui, dans l’adolescence ont bu le plus de laitages ont un risque significativement augmenté de développer un cancer de la prostate, il est nécessaire que les autorités sanitaires (en France : ANSES, INPES, PNNS) fassent amende honorable en reconnaissant qu’elles ont eu tort d’inciter toute la population à consommer 3 à 4 laitages par jour « dans le but de prévenir les fractures »; elles doivent s’abstenir dorénavant de promouvoir la surconsommation de ces aliments, et prôner la modération, comme le fait LaNutrition.fr depuis des années : il n’y a pas de risque à consommer modérément des laitages, si on les tolère, mais il n’y a pas non plus d’obligation de le faire car ces aliments ne sont pas insdipensables.

Source 

Feskanich D, Bischoff-Ferrari HA, Frazier AL, Willett WC. Milk ConsumptionDuring Teenage Years and Risk of Hip Fractures in Older Adults. JAMA Pediatr.2013 Nov 18.

Origan

L’origan

Plante aromatique connue et reconnue, on raconte parfois de bonnes fadaises à son sujet !

Contrairement à ce qu’on affirme souvent dans les épiceries et sur les marchés, Marjolaine et Origan ce n’est pas la même chose ! Bien qu’appartenant à la même famille, les deux plantes n’ont pas du tout les mêmes propriétés, pas plus que le même goût ! Cependant, il faut savoir qu’elles se marient à la perfection et que leur association multiplient les saveurs des mets auxquelles on les ajoute.

Comme toutes les plantes aromatiques, elle possède des propriétés curatives intéressantes, et son usage régulier en cuisine permet souvent d’éviter des traitements dus aux survenues intempestives de divers troubles.

Origanum vulgare est son nom latin, et il est de la famille des Sauges, aussi étonnant que cela puisse paraître. C’est une Labiée !

C’est une herbe vivace des talus ensoleillés, prairies et clairières sèches. On le trouve autant en plaine qu’en montagne, et il est aussi commun sous nos latitudes que son nom temps à l’indiquer, s’étendant dans toute l’Eurasie, jusqu’à l’Himalaya et la Sibérie Centrale : origan commun.

Il fleurit généralement au mois de juillet, mais se trouve parfois déjà en fleur en juin, ou traine jusqu’à août suivant les années.

On le reconnait aisément à sa tige carrée velue et souvent rougeatre. Celle-ci tend d’ailleurs à être plus résistante à ce moment là. Son odeur entre les doigts, quant à elle, ne laisse aucun doute sur son « identité », et il est bien difficile de se tromper en la cueillant.

On lui reconnait des propriétés antiseptiques, anti-inflammatoires, expectorantes, et stimulant la sécrétion de la bile.

Elle possède, en outre, des actions toniques, antifermentative intestinale, antispasmodique dans les toux quinteuses, antitussives (antibactérienne, antivirale, antifongique). L’action antalgique (contre les douleurs) est également souvent citée.

Son efficacité jouerait aussi sur la nervosité, le stress, la digestion et le transit.

En usage externe, elle est souvent conseillée comme préparation rafraîchissante et revigorante pour bain, pour les douleurs rhumatismales, les infections de la peau et comme gargarisme dans les stomatites et maladies des voies respiratoires supérieures.

L’inhalation des vapeurs a un effet bénéfique sur les toux et les rhumes.

/!\ : Deux autres labiées ont les mêmes propriétés : la sarriette et l’hysope. Encore une fois, à ne pas confondre avec la marjolaine !

/!\ /!\ : A fortes doses, l’origan pourrait être un excitant pour le coeur, à réserver à l’adulte !

(Sources : En bonne santé avec les plantes des Vosges et d’ailleurs, par Christiant et Elisabeth Busser, éditions La nuée bleue ; et : Plantes médicinales, des éditions Gründ)

Digestion des légumineuses

Digestion des légumineuses

 

Les Lentilles, tout comme beaucoup d’autres légumes secs, sont plus digestes si on les fait tremper, et plus encore si on les laisse germer.
L’utilisation d’algue Kombu ou Wakamé peut également aider à la digestion, autant qu’à leur cuisson (sérieux gain de temps). Le Bicarbonate de soude peut également être d’un grand secours…

Haleine fraiche en toute circonstance

 

Mâcher des graines de carvi, de cumin, de fenouil, des feuilles de persil, et des gousses de cardamome, permet de lutter contre la mauvaise haleine, et la rafraichit considérablement quand on n’a d’autre possibilité de se laver les dents.

Vous pouvez oublier les chewing-gums, fabriqués à base de pétrole…

Fibres et cuissons des céréales

 

Pour accélérer la cuisson des riz complets et autres céréales non raffinées, il existe une technique fort simple.

Plongez votre riz directement dans l’eau froide afin qu’il gonfle pendant son échauffement. À ébullition, laissez cuire 3 à 4 minutes à feu vif afin de casser les grains, puis baissez votre flamme tout en gardant les bouillons.

Vous gagnerez ainsi un bon quart d’heure de cuisson et rendrez vos céréales complètes plus tendres.

Les fibres des produits complets ont un avantage certain sur les produits raffinés !
Contrairement aux sons et autres fibres solitaires, qui irritent le colon, celles des produits complets, bien que non assimilés par l’organisme, « grattent » les parois de l’intestin en douceur, emmenant avec elles les excès de graisses et de sucres qui s’y collent en attendant que le corps les emmagasine (le plus souvent aux endroits disgracieux).

De plus, elles vous éviteront les constipations et autres désagréments intestinaux…

Cholestérol, des médicaments qui entretiennent la maladie

Cholestérol, des médicaments qui entretiennent la maladie

Cher lecteur,

Le système médico-pharmaceutique veut persuader les populations que le cholestérol est une cause majeure d’infarctus et d’accidents vasculaires cérébraux (attaques cérébrales), c’est faux !

Pourquoi raconte-t-il ça ? Pour vendre plus de médicaments anti-cholestérol, les statines.

Une personne de plus de 45 ans sur trois, en France (soit huit millions de personnes) prennent des statines. Cela coûte une fortune à la Sécurité Sociale (un milliard d’euros par an). Les ventes augmentent depuis 10 ans.

Mais ce qu’on ne vous dit pas, c’est que le cholestérol n’est pas un poison. Et les personnes sous statines mettent leur santé en danger, parce que ces médicaments s’accompagnent d’une liste longue comme le bras d’effets secondaires débilitants – de l’insuffisance cardiaque aux douleurs musculaires, en passant par les pertes de mémoire et les lésions du foie.

En revanche, une étude publiée dans l’American Heart Journal (Janvier 2009) analysant 137 000 patients admis dans des hôpitaux aux Etats-Unis avec une crise cardiaque a démontré que près de 75 % avait un taux de cholestérol « normal ».

Une conspiration pour vous maintenir malade

Pourquoi ni les médecins, ni les chirurgiens, ni les hôpitaux, ni les sociétés pharmaceutiques – et si peu de personnes dans les professions médicales – n’acceptent de dire la vérité sur les statines ?

Pourquoi ne veulent-ils pas que vous sachiez que les médicaments qui diminuent le taux de cholestérol provoquent de si nombreux effets secondaires, sans pour autant protéger contre les maladies cardiovasculaires ?

Il y a plusieurs raisons.

D’une part, ce serait des milliers de grands cardiologues et de grands professeurs de médecine qui devraient publiquement reconnaître qu’ils se trompent depuis trente ans et ça, croyez-moi, ce n’est pas facile… Actuellement, toute personne critiquant ces politiques ou en désaccord avec elles est étiquetée comme hérétique, ignorée et ridiculisée. L’extraordinaire livre du cardiologue Michel de Lorgeril sur les moyens naturels de prévenir l’infarctus, qui vient de paraître, a été totalement ignoré par la presse. Uniquement parce qu’il dénonce, arguments scientifiques à l’appui, une vérité qui dérange trop le monde médical.

Michel de Lorgeril est pourtant chercheur au CNRS et il a écrit des centaines d’articles dans les plus grandes revues scientifiques. Son livre contient toutes les informations les plus en pointe sur la recherche, et d’innombrables conseils vitaux et rassurants pour les personnes qui craignent pour leur cœur et leurs artères. (Pour en savoir plus, cliquez ici).

Vu l’importance de ces révélations pour des millions de malades en France, ce silence des médias est inexplicable.

D’autre part, la médecine est devenue, malheureusement, un affaire de gros sous. Et si vous ne prenez pas de médicaments… ou si vous prévenez les maladies ou si vous guérissez vous-même naturellement… ni eux ni ne gagneront pas un centime.

Le nutriment qu’ils veulent vous cacher

Parmi les effets indésirables des statines, un des plus pernicieux est que votre organisme est significativement vidé de ses réserves de coenzyme-Q10 (CoQ10).

Le CoQ10 intervient dans vos mitochondries, qui sont les petites centrales électriques fournissant à vos muscles l’énergie qui leur permet de se contracter.

Or, quel est le principal muscle de votre organisme, celui dont vous avez le plus besoin ? C’est votre cœur, évidemment.

Le CoQ10 est indispensable au fonctionnement des muscles, et votre cœur est votre muscle le plus vital.

Prétendre soigner votre cœur en vous vidant de vos réserves de CoQ10, c’est comme si un garagiste escroc vous trafiquait le moteur de votre voiture en vous promettant de meilleures performances, tout en vous volant, derrière votre dos, l’essence du réservoir !!

Si vous prenez des médicaments qui vous font baisser votre taux de CoQ10 – et c’est le cas de la plupart des médicaments qui font baisser le cholestérol – il est important de compenser en prenant des suppléments de CoQ10 par voie orale.

Trop peu de médecins en informent aujourd’hui leurs patients. C’est inacceptable.

Le cholestérol est bon pour la santé

Le cholestérol est souvent vilipendé par l’establishment scientique et médical, mais le fait est que c’est un composant essentiel de votre corps. En fait, des niveaux réduits de cholestérol sont corrélés à des problèmes de santé, en particulier des hémorragie cérébrale (attaque), autrement dit une artère qui éclate dans votre cerveau provoquant un saignement qui provoque instantanément une paralysie (ou rend aveugle, fait perdre la mémoire, etc.).

Mais un taux de cholestérol réduit a aussi été mis en relation avec un risque plus élevé de cancer.

Le lien entre risque de cancer et cholestérol bas a été établi de façon récurrente par les études scientifiques, à tel point qu’il faut considérer comme absurde et dangereux de se réjouir d’avoir un cholestérol bas, et plus encore de chercher à l’atteindre par une alimentation pauvre en graisses ou, pire encore, par des médicaments.

Certains scientifiques ont essayé de démontrer que ce lien entre faible cholestérol et risque plus élevé de mortalité était le résultat d’une « causalité inverse ». Autrement dit, ce seraient les maladies chroniques comme le cancer qui seraient la cause de la baisse du taux de cholestérol, et non l’inverse (hypothèse d’Iribarren).

Mais cette hypothèse a été écartée après plusieurs études épidémiologiques, qui ont suivi sur de longues périodes (19 et 20 ans) des personnes ayant un faible taux de cholestérol. (1)

Pour un bon taux de vitamine D, vous avez besoin de cholestérol

Une explication possible de ce lien entre faible taux de cholestérol et cancer, est que le cholestérol est l’ingrédient de base de la vitamine D ; la vitamine D est en fait du cholestérol qui a subi une modification chimique dans la peau sous l’effet des rayons du soleil.

Or, la vitamine D joue un rôle crucial dans la régulation de la reproduction cellulaire. Un manque chronique de vitamine D peut favoriser le développement anarchique des cellules, et donc de tumeurs cancéreuses.

Un autre indice que le manque de cholestérol peut provoquer le cancer est qu’une étude sur quatre ans a établi que la combinaison de deux médicaments anti-cholestérol, la simvastatine et l’Ezétimibe, était aussi corrélée avec un risque augmenté de cancer. Lorsqu’ont été utilisés les résultats de trois études dans lesquelles la simvastatine et l’Ezétimibe étaient prises en association, le risque de décès par cancer était augmenté de 45 %.

Mais ce résultat a été mis de côté par les scientifiques qui, de façon surprenante, l’ont attribué au « hasard ».

A noter qu’un dossier Santé Nature Innovation sur le cholestérol a été publié au mois de février 2012. C’est, à ma connaissance, la meilleure synthèse qui ait été faite sur le sujet, dans un style facile et agréable à lire.

Vous pouvez recevoir ce dossier aujourd’hui, si vous vous abonnez à Santé Nature Innovation. Pour cela, cliquez ici.

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis

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Sources de cet article :

(1) Alawi A, et al. Statins, Low-Density Lipoprotein Cholesterol, and Risk of Cancer. Journal of the American College of Cardiologists 2008;52(14):1141-7

– Yang X, et al. Independent associations between low-density lipoprotein cholesterol and cancer among patients with type 2 diabetes mellitus. Canadian Medical Association Journal 2008;179(5):427-437

– Schatzkin A, et al. Serum cholesterol and cancer in the NHANES I epidemiologic followup study. National Health and Nutrition Examination Survey. Lancet 1987;2:298-301

– Rossebo AB, et al. Intensive lipid lowering with simvastatin and ezetimibe in aortic stenosis. N Engl J Med. 2008;359(13):1343-56

– Peto R, et al. Analyses of cancer data from three ezetimibe trials. N Engl J Med. 2008;359(13):1357-66

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Cancer, etc… : Guérison interdite !

Cancer : guérison interdite

La France détient, hélas, le triste record de la persécution des thérapeutes non-orthodoxes. Mais si un de vos proches est décédé d’un cancer, alors l’histoire qui suit risque de vous rendre triste et très en colère contre les autorités.

Gaston Naessens est un brillant biologiste français, né à Roubaix, et aujourd’hui réfugié au Québec.

Son « crime » est d’avoir voulu inventer un produit anti-cancéreux, diffusé dans près de 80 pays, le 714-X. Il existe de nombreux témoignages de guérisons de cancers, y compris au stade terminal, pour le 714-X. Il est par ailleurs prouvé depuis 1978 que ce produit est dépourvu de toute toxicité ou effet secondaire. Mais en tant que patient français ou belge, vous n’y avez pas droit.

Je vais vous présenter tous les détails de cette affaire incroyable, qui est une gêne pour les autorités médicales, et pour les autorités tout court (avec de tels enjeux, une intervention de la présidence de la République pour stopper les persécutions contre ce chercheur eût été la moindre des choses).

Mais avant cela, je dois préciser que ce message n’a pas pour but de vous recommander de prendre du 714-X. Ce n’est pas la vocation de l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle que de recommander des traitements. Nous ne donnons pas de soins médicaux, et nous n’avons pas à nous prononcer sur la validité scientifique de tel ou tel médicament. Peut-être même le 714-X pourrait-il ne pas être efficace.

Si nous avons jugé important de vous parler de Gaston Naessens et du 714-X, c’est parce qu’il s’agit d’un cas absolument emblématique, à nos yeux, des souffrances qui s’ensuivent lorsque des citoyens sont privés d’accès à un traitement par l’arbitraire du pouvoir.

En revanche, si vous souhaitez plus d’informations sur Gaston Naessens et le 714 X, des sources documentaires sont indiquées à la fin de l’article. Cela vous permettra d’apprécier par vous-même l’intérêt de cette découverte. Le récit n’invente rien, aussi incroyable qu’il puisse paraître par moments. Il existe d’ailleurs de nombreux cas de persécutions similaires, ou pires encore. Le passage reproduit ci-dessous est un extrait [1] de « Savant maudits, chercheurs exclus » de Pierre Lance, paru aux éditions Guy Trédaniel en 2010 (2ème édition). Nous le reproduisons avec l’aimable autorisation de l’éditeur.

Prenez un fauteuil confortable et surtout… solide.

Bonne lecture !

Augustin de Livois
Institut pour la Protection de la Santé Naturelle
« Savants maudits, chercheurs exclus », de Pierre Lance

Extrait du Tome II, Gaston Naessens.

« Gaston Naessens est né en 1924 dans une famille bourgeoise du Nord de la France. Alors qu’il étudie la physique, la chimie et la biologie à l’Université de Lille, éclate la seconde Guerre Mondiale. Gaston Naessens est évacué vers le sud de la France. En juin 1945, il est diplômé de l’Union Scientifique. C’est une structure créée pendant la guerre par des professeurs de Lille réfugiés à Nice. A la fin des années quarante, il applique son esprit inventif à trouver le moyen d’agir directement sur les cellules cancéreuses. En fait, il cherche à influer sur les processus permettant la prolifération des tumeurs. En 1949, Gaston Naessens parvient à mettre au point un médicament dont l’objectif est d’enrayer l’aspect « fermentation » des tumeurs cancéreuses. Ce produit transformait la l écithine des tissus en lysocithine. Fabriqué par un laboratoire suisse, ce médicament fut vendu par les pharmaciens, en France et en Suisse, de 1950 à 1960.

Mais Naessens, dont rien n’arrête la créativité, a mis au point un nouveau microscope grâce auquel il établit lui-même des diagnostics de cancer. Après quoi il prescrit son produit alors appelé le GN-24, lequel se révèle extrêmement efficace sur les sarcomes, des cancers qui se déclarent dans les tissus conjonctifs. C’en est trop pour les autorités médicales, qui considèrent le cancer comme leur « chasse gardée ». (Gaston Naessens est diplômé de biologie, non de médecine, NDLR). Elles passent à l’attaque du trop talentueux franc-tireur.

Menacé des foudres de la justice pour exercice illégal de la médecine, Naessens suspend ses traitements aux malades. Ceux-ci l’attaquent à leur tour pour non-assistance à personne en danger. Gaston Naessens est pris entre le marteau et l’enclume. Il tombe deux fois sous le coup de la loi : une première fois parce qu’il soignait des malades sans avoir le diplôme de docteur en médecine, délit prévu par l’article 372 du Code de la Santé ; une seconde fois parce qu’il a refusé de soigner ces mêmes malades qui sont en danger de mort, délit poursuivi par l’article 63 du Code pénal…

En juin 1956, perquisition chez Naessens et saisie des ampoules de son remède. Mais l’Inspecteur de la Santé publique lui en laisse une quantité suffisante pour ses patients en cours de traitement. Le 15 mars 1957, seconde perquisition et, le 28 mars, on pose les scellés sur son matériel et sur la porte de son laboratoire. Il ne peut plus soigner ses malades. Tout cela parce qu’une de ses patientes, qu’il avait soignée en 1953, avait eu la malencontreuse idée d’aller voir un médecin et de lui parler de Naessens. Ce dernier raconte : « Entre-temps, le médecin qui m’avait dénoncé avait continué à bourrer de morphine la malade qui avait eu le tort de ne pas s’en tenir au verdict fatal qu’il avait émis, et d’essayer de guérir hors des règles officielles. La malheureuse a eu ainsi 4308 ampoules de morphine. (…) Elle a tenu un an et dou ze jours avant de succomber à cette intoxication massive. Pourtant, ce n’est pas son médecin qui a été poursuivi et que l’on a empêché d’exercer ; c’est moi… »

Naessens habite alors à Chelles (Seine-et-Marne), où les malades abandonnés viennent le supplier de les traiter. Il est contraint de les renvoyer. Ceux-ci alertent le ministre de la Justice. Quinze jours plus tard, n’ayant pas de réponse, ils organisent une manifestation et distribuent des tracts ainsi libellés : « Vous qui êtes abandonnés par ceux qui ont le monopole de la médecine officielle, vous qu’un juge d’instruction sans pitié empêche de recevoir des soins indispensables, venez manifester votre volonté de vivre, le mardi 16 avril 1957, devant le ministère de la Justice, 13, place Vendôme. »
Au jour dit, la police disperse les manifestants… (…)

Au début des années cinquante, Gaston Naessens était déjà persuadé de l’existence de micro-organismes qu’il ne pouvait pas apercevoir au moyen des microscopes classiques. Soucieux de confirmer son intuition, il se lance lui-même dans la mise au point d’un microscope très spécial, avec le concours d’artisans opticiens de Leitz, en Allemagne. Par la suite, il perfectionnera encore l’appareil grâce à des procédés électro-magnétiques. Cette performance fera l’étonnement des professionnels de l’optique et témoigne à elle seule du génie de ce chercheur polyvalent. (…)

En 1952, son microscope inégalable lui a donc permis d’observer des corpuscules différents des virus et des bactéries, que personne n’avait pu voir avant lui. Il leur donne le nom de somatides. (…)

Poursuivant méthodiquement ses recherches, il multiplie les expériences et il s’aperçoit, en 1959, qu’en injectant à des chevaux des cultures de somatides de cancéreux, il suscite chez les animaux une forte réaction immunitaire. Et il obtient chez des souris un effet anti-cancéreux en leur injectant une gamma-globuline qu’il extrait du sang des chevaux traités. Il vient de découvrir l’Anablast, qui va le rendre célèbre dans le monde entier.

Naessens obtient en 1961 un brevet pour l’Anablast, et dépose à l’Académie des sciences de Paris, le 3 juillet 1963, une publication scientifique portant le numéro 14405. De nombreux médecins français, consciencieux et honnêtes, se désespérant de ne pouvoir guérir certains cas de cancer, se décident à prescrire l’Anablast à quelques-uns de leurs patients. Ils obtiennent le plus souvent d’excellents résultats et l’intérêt pour le produit de Naessens se développe rapidement, jusqu’au jour où un journal britannique, en janvier 1964, annonce qu’un chercheur français a mis au point un traitement anti-cancéreux qui fait merveille. La nouvelle, aussitôt reprise par de nombreux médias, fait le tour du monde en quelques jours. Gaston Naessens est à l’époque installé en Corse, et l’île voit débarquer quelque dix mille personnes impatientes de recevoir le médicament-miracle. Alors commence vraiment « l’affaire Naessens ».

Affolé, le gouvernement français expédie en Corse 350 gendarmes pour « rétablir l’ordre ». Les autorités contraignent Naessens à déclarer publiquement qu’il ne lui est plus possible de fabriquer l’Anablast. Le chercheur ne résiste pas à l’injonction (…) et rentre aussitôt à Paris, en espérant que ce tintamarre va obliger les officiels de la médecine à reconnaître la valeur de l’Anablast, car son médicament et lui-même font alors les gros titres de toute la presse.

C’est le professeur Denoix, directeur de l’Institut de cancérologie Gustave Roussy de Paris, qui examine des échantillons de l’Anablast. Quelques jours après les avoir reçus, il déclare que le produit n’a aucune valeur. Et il ajoute que les somatides de Naessens ne sont que des « figures myéliniques » connues, des artéfacts de coloration des frottis sanguins. Naessens est sidéré. Il affirme qu’il est impossible de démontrer quoi que ce soit sur la valeur de l’Anablast en un si court laps de temps et en conclut, que le Professeur Denoix, grand patron de la cancérologie, a émis son opinion sans procéder à la moindre étude scientifique sérieuse. Mais le procureur de la République décide que Gaston Naessens sera traduit en justice au motif de pratique illégale de la médecine. L’instruction va durer tr ois mois, durant lesquels, on s’efforce de rassembler les preuves de la « culpabilité » de Naessens.

Or en 1964, un citoyen canadien du nom de René Guynemer, dont le fils est gravement malade, écrit à Naessens pour lui demander de venir soigner son enfant. Et il arrange une rencontre entre Naessens et l’Ambassadeur du Canada à Paris. Guynemer et l’ambassadeur Jules Léger exhortent Naessens à quitter la France et à venir s’installer au Canada, où, lui assurent-ils, il pourra continuer ses recherches sans être inquiété. (…)

Cependant son entrée au Canada ne se fait pas dans la discrétion souhaitée, bien au contraire. Le tapage médiatique est énorme et tout le monde attend la guérison du petit Guynemer. Malheureusement l’enfant, atteint de leucémie, décède en juillet 1964, alors que Naessens se montrait très confiant dans sa guérison. Que s’est-il donc passé ?

L’enfant était hospitalisé à l’Hôpital Ste Justine. En juin 1964, le chercheur prépare son Anablast sous la surveillance du Dr Armand Frappier. Naessens confectionne 88 ampoules du médicament. Il en remet 50 pour analyse au Dr Frappier et 38 autres au Dr Royer, directeur de Ste Justine, lesquelles sont destinées au traitement du jeune patient. Les journaux annoncent que le petit Guynemer reçoit la première injection le 17 juin. Mais parallèlement, le collège des médecins déclare que l’Anablast n’a aucune valeur, tout en assurant que l’inoculation du produit sera poursuivie « pour des raisons humanitaires ». (…). Le 4 juillet, le petit Guynemer décède. L’opinion publique, tenue en haleine par la presse, attend des explications qui tardent à venir. Et pourquoi n’a-t-on pas autorisé Naessens à être présent lors des injections ? Mais, quelque temps plus tard, les 38 ampoules qui auraient dû servir à traiter l’enfant sont rendues à Naessens ! (…). Gaston Naessens affirme avoir identifié une substance émise par les tumeurs, substance qu’il nomme le « facteur cocancérigène K ». Il s’agirait d’une enzyme ayant pour fonction de paralyser les cellules T4, qui sont les « patronnes » de notre système immunitaire. Cette mise hors jeu des T4 étant obtenue, les tumeurs peuvent facilement tirer du corps tout l’azote qui leur est nécessaire sans être combattues par les globules blancs et les lymphocytes. Les cellules cancéreuses ayant en outre une forte attirance pour le camphre, Naessens utilise celui-ci comme porteur de l’azote destiné aux cellules cancéreuses. Dès lors, étant gavées d’azote par le 714-X, elles n’émettent plus le facteur cancérigène K qui paralysait le système immunitaire. Celui- redevient aussitôt opérationnel et l’effet obtenu serait très rapide et spectaculaire. Ce résultat a été notamment confirmé par un médecin belge, le Dr Florianne Piers, qui a pu témoigner de l’action thérapeutique majeure du médicament, puisque le 714-X a été bénéfique aux sept patients qu’elle soigne ainsi depuis six mois et qui ont tous retiré des effets salutaires des produits, sans le moindre effet secondaire.

Selon Gaston Naessens, grâce à son médicament, le pourcentage de rémissions des cancers en phase terminale est de 25 %. Il passe à 50 % pour les cancers avancés, et atteindrait 100 % pour les cancers primaires qui n’ont pas encore fait de métastases. On comprend qu’un vent de panique saisisse les industriels de la cancérologie traditionnelle à la seule idée que de telles statistiques puissent se vérifier. Leurs florissantes entreprises sombreraient dans un maelström boursier si jamais le médicament Naessens était agréé. Sans parler des carrières de « grands professeurs » qui passeraient tout d’un coup à la trappe.

Mais Gaston Naessens, probablement traumatisé par les avanies qu’on lui a fait subir, devient méfiant et se défie désormais des propositions les mieux intentionnées :

Le 29 juillet 1987, le docteur Francesco Bellini, qui préside et dirige le célèbre Institut de recherche de IAF-Biochem, vient à Rock-Forest pour rencontre Gaston Naessens et visiter son laboratoire.

L’avocat de l’Institut, Maître Lawrence Wilson, l’accompagne et les deux hommes sont si intéressés par les travaux et les résultats de Naessens que celui-ci reçoit, le 13 octobre suivant, un projet de contrat lui offrant de céder à IAF-Biochem l’exclusivité de la commercialisation du produit pendant dix années, dès que le 714-X sera clairement identifié. Mais Naessens prend peur. Ne risque-t-il pas d’être écarté des recherches et de n’avoir plus son mot à dire ? Finalement, il refuse le contrat. (…)

Le docteur Ralph W Moss, expert en cancérologie, et conseiller en approches non conventionnelles contre le cancer auprès de plusieurs organismes, notamment les National Institute of Health des Etats-Unis, a rendu visite à Gaston Naessens dans son laboratoire en 1994 et il a étudié ses travaux pendant plus de trois mois. Il sortit si impressionné de ce studieux séjour qu’il n’hésita pas à déclarer : « La portée que pourrait avoir l’orthobiologie somatidienne sur la médecine est presque inimaginable ; c’est réellement une science qui pourrait bouleverser nos paradigmes actuels. Si les théories de Naessens s’avèrent fondées, les biologistes, ne vont pas devoir réécrire leurs manuels, ils devront les jeter à la poubelle ». (…)

En 1999, une collaboratrice de Gaston Naessens, le docteur Diane Van Alstyne, a soumis, sous couvert d’anonymat, le 714-X à un essai avec placebo au Dana Faber Cancer Research Institute de Boston. Les résultats indiquaient très clairement que le 714-X contribue au processus d’élimination des cellules cancéreuses et qu’il accentue la réponse immunitaire. Mais ces résultats étonnants mirent évidemment la puce à l’oreille des expérimentateurs qui cherchèrent à s’informer sur l’origine de ce produit révolutionnaire. Et lorsqu’ils s’aperçurent qu’il s’agissait du 714-X, l’Institut refusa de remettre les résultats à Gaston Naessens. (…)

Naessens fut contraint de poursuivre l’Institut pour pouvoir enfin obtenir les résultats des tests. Au reste Naessens ne se faisait pas trop de soucis pour l’avenir de son médicament, car tout un réseau de thérapeutes alternatifs s’était peu à peu constitué et diffusait tranquillement le 714-X par le bouche à oreille (…). C’est ainsi, qu’au Québec seulement, près de 2000 personnes atteintes de maladies dégénératives, notamment cancer et sida, auraient bénéficié clandestinement de ce traitement qu’il est possible de se procurer depuis 1977. Le traitement de base fonctionne par cycles de 21 jours, et coûte 100 $. Une utilisation de six à huit cycles est recommandée, ou bien l’on arrête dès que les examens montrent que la maladie a disparu. Le traitement terminé, il est conseillé de prendre le 714-X deux fois par an, à titre préventif ou d’entretien. Le médicament est normalement administré par une injection dans la région des ganglions lymphatiques de l’aine. Elle peut être administrée par un professionnel de santé ou par la personne elle-même. Il existe des documents et des vidéos qui expliquent la procédure à suivre. Il est possible, dans certains cas particuliers, de se servir d’un nébuliseur pour inhaler le produit.

Les témoignages de personnes qui disent avoir été guéries par lui du cancer ou du sida abondent. Le 714-X contribuerait à améliorer la santé des personnes de tous âges atteintes de maladies comme le cancer, la fibromyalgie, la sclérose en plaques, le syndrome de la fatigue chronique, le lupus, l’arthrite, le rhumatisme inflammatoire, le sida. Il serait également efficace contre les complications postvaccinales, les infections virales ainsi que pour favoriser les convalescences postchirurgicales. On recommande également de prendre le 714-X avant de subir une chirurgie ou une chimiothérapie pour préparer l’organisme à une bonne défense immunitaire.

Gaston Naessens déclare que huit thérapeutes au Québec fournissent le 714-X à leurs patients. Quant à lui, depuis les accusations de 1984, il se limite à déterminer la gravité de l’état des patients par l’observation microscopique de leur sang. Mais les intéressés sont contraints pour cela de se rendre chez Naessens, car il déclare qu’il est impossible d’obtenir un diagnostic fiable plus de 20 minutes après la prise de sang.

Cependant le 714-X franchit allègrement les frontières canadiennes et il est utilisé en France, en Autriche, en Russie, au Japon, en Belgique, en Suisse et, bien sûr, aux Etats-Unis. Dans ce dernier pays, on assure même qu’une association de sidéens de la région de Los Angeles l’expérimente sur une grande échelle. On cite le cas de Bernard Baril : atteint au palais par un sarcome de Kaposi, il le vit disparaître en quelques semaines, après avoir bénéficié du traitement de Naessens. Touché par le sida, il a vu son état s’améliorer spectaculairement grâce au 714-X. (…)

Deux chercheurs canadiens, les docteurs John Bienenstock et Daniel Perey, professeurs à l’Université de MacMaster, qui ont travaillé plusieurs mois auprès de Gaston Naessens, écrivaient :« Nous avons vérifié dans nos laboratoires, avec une assistance scientifique raisonnable, les prétentions de M. Naessens selon lesquelles on peut isoler dans le sang de sujets en santé, humains ou animaux, des micro-organismes qui peuvent croître par la suite dans un milieu artificiel. Ces micro-organismes possèdent des propriétés très inhabituelles, comme la résistance à l’ébullition et à la lumière ultra-violette. Ces trois procédés sont utilisés couramment en recherche et dans l’industrie pour stériliser les fluides, cependant en dépit de ces traitements, mes micro-organisme s que nous pouvons maintenant isoler continuent de croître et prennent plusieurs formes au cours d’un cycle en plusieurs phases. Autant que nous puissions en être sûrs, ces micro-organismes ne sont pas le résultat de contamination. »

En 1989, après un procès gagné par Gaston Naessens, un groupe de patients a exigé de Santé Canada, qu’il permette la distribution du produit, bien que celui-ci n’ait toujours pas reçu l’agrément des autorités canadiennes. Depuis 1990, Santé Canada, dans le cadre de son programme d’accès spécial, autorise les médecins à prescrire le 714-X à des patients atteints d’une affection grave ou potentiellement mortelle, si les traitements classiques se sont avérés inefficaces. C’est ainsi qu’entre 1990 et 2002, 1632 médecins ont reçu 18 224 autorisations de prescription au profit de 3739 patients.

On n’imagine pas que cela puisse se passer en France et il faut saluer la relative liberté médicale du Canada. S’il est vrai que l’on rencontre dans tous les pays la dictature larvée des mandarins de la médecine, force est de constater qu’elle n’est nulle part plus puissante ni plus intolérante qu’au pays des droits de l’homme. En matière de liberté thérapeutique, on est en droit de dire que la France, c’est l’enfer, l’Amérique du Nord, le purgatoire. Un bactériologiste américain du nom de Walter Clifford ayant travaillé durant plusieurs années pour l’armée des Etats-Unis résumait ainsi la situation : « si vous ne vous en tenez pas à la ligne officielle, les bonzes de la médecine ne veulent même plus savoir ce que vous avez découvert, peu importe ce que c’est. » Lorsqu’un chercheur indépendant fait une découverte, les officiels s’empressent de la discréditer tout en refusant de l’expérimenter. Un journaliste qui demandait au docteur Augustin Roy si le corps médical avait évalué le médicament de Naessens s’entendit répondre : « Ce n’est pas notre travail.» Quant au Dr Richard Morisette, microbiologiste de l’Hôtel-Dieu de Montréal, qui faisait son internat à l’hôpital Ste Justine en juillet 1964 durant l’agonie du petit Guynemer, il eut une réponse plus sidérante encore. A Christian Lamontagne, qui lui demandait s’il serait prêt à faire les tests qu’il prétendait réclamer, le Dr Morisette déclara superbement qu’il « avait d’autres choses plus importantes à faire que de s’occuper de Monsieur Naessens. » Or, personne ne lui demandait de s’occuper de Naessens, mais de se soucier de ses malades. Toutefois, cette idée ne semblait pas l’avoir effleuré.

Je voudrais ici attirer l’attention sur un effet particulièrement pervers de cet ostracisme dont sont victimes les scientifiques indépendants. Aujourd’hui, le public cultivé sait à quoi s’en tenir et fait de moins en moins confiance au corps médical. Parallèlement, il s’intéresse à toutes les médecines alternatives que les officiels méprisent ou condamnent et prête volontiers l’oreille à toutes les rumeurs de succès thérapeutiques non conventionnels qui se colportent. Aussi est-il aisé à un charlatan de profiter de ce préjugé favorable pour avantager leurs affaires. Et à force de jeter l’opprobre sans discernement sur tous ceux qui affirment pouvoir guérir, ce sont les mandarins qui se rendent eux-mêmes complices des charlatans et qui encouragent leur prolifération.

Gaston Naessens aimait son pays et c’est en France qu’il eût souhaité être reconnu. Mais après avoir été condamné à verser 300 000 francs d’amende et 600 000 francs de dommages et intérêts à l’ordre des médecins (il s’agit de francs des années cinquante) par un tribunal prétendant rendre des services au nom du peuple français, lequel n’en pouvait mais, ce grand chercheur dut se résoudre à se tourner vers d’autres cieux.

Aujourd’hui, c’est au Québec, terre française malgré tout, que Gaston Naessens poursuit son œuvre passionnante. Souhaitons-lui longue vie et bonne justice. »

L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle remercie Pierre Lance et les éditions Guy Trédaniel de leur aimable autorisation de publier cette adaptation du chapitre 3 du second tome de « Savants Maudits, chercheurs exclus » (deuxième édition, 2010). Pour des affaires similaires ou plus spectaculaires encore : http://www.editions-tredaniel.com/savants-maudits-chercheurs-exclus-p-868.html

E Coli : Les attaques récentes contre les produits biologiques reposaient sur…une étude qui n’existe pas !

Suite à l’affaire des graines germées contaminées par des souches virulentes d’E.Coli, les produits bio ont été injustement montrés du doigt comme étant prétendument dangereux. Ces accusations reposent en fait sur des études qui n’existent pas !

Rappels des faits. Le 27 juin dernier deux directeurs de recherche du CNRS n’ont pas hésité à publier une tribune dans le journal Libération prétendant que le Centre de contrôle des maladies infectieuses d’Atlanta (Center for Disease Control d’Atlanta -CDC ) aurait réalisé une étude en 1996 liant un tiers des 250 décès dus à une souche pathogène d’E.Coli à la consommation de produits biologiques ( alors qu’ils ne représentaient que 1% des aliments consommés aux Etats-Unis). Et nos deux scientifiques français de conclure : « Il est donc indéniable que les mérites de l’agriculture biologique s’accompagnent inévitablement de risques alimentaires spécifiques ». Les conséquences sur l’image des produits bio ne se sont pas fait attendre comme devait le confirmer un sondage réalisé par le WWF(1).

Générations Futures (GF) et la Fédérations Nationale d’Agriculture Biologique (FNAB) révèlent aujourd’hui que cette assertion repose sur
…une étude qui n’existe pas !

D’où vient cette soit disant étude ? Contacté, un des scientifiques du CNRS ne donne pas de référence pour cette supposée étude américaine mais se contente de dire qu’elle serait tirée d’un livre de Alan McHughen, un scientifique canadien. Le problème, c’est que ce McHughen n’a fait dans ses livres (2) que reprendre les dires d’un certain Dennis T. Avery qui colporte depuis des années une rumeur selon laquelle le Center for Disease Control d’Atlanta aurait réalisé en 1996 une étude comparative bio / conventionnel montrant que les personnes mangeant des aliments bio ont beaucoup plus de risque d’être infectés par E.coli.

Pas plus de risque d’infection en bio. Cette affirmation a été vigoureusement démentie dès 1999, y compris par des cadres dirigeants du CDC niant vigoureusement avoir conduit de tels travaux comparant le risque d’infection par E.Coli en fonction du mode de production, bio ou non bio (3).

Précisions : Dennis T. Avery (4) travaille pour le Hudson Institute (5), un think tank conservateur. Avery travaille sur l’agriculture et les biotechnologies et consacre une énergie considérable à dénigrer l’agriculture biologique. A noter que le Hudson Institute a reçu des fonds de firmes comme Monsanto, Syngenta, Dow Agroscience, Dupont…sans commentaire.

« Alors que les consommateurs plébiscitent les produits bio, les adversaires de l’écologie et de l’agriculture biologique essayent par tous les moyens de décrédibiliser la bio depuis de longs mois. Les accusations de chercheurs publics reposant sur des rumeurs sont inacceptables. Elles doivent être démenties immédiatement et publiquement.» déclare François Veillerette, Porte parole de Générations Futures.

« La FNAB estime que les propos tenus par les deux scientifiques du CNRS sur les aliments bio sans référence scientifique portent atteinte à la fois à la filière agriculture biologique et à la crédibilité du CNRS. Elle se réserve le droit d’agir en conséquence. » ajoute Dominique Marion, Président de la FNAB.

1 : http://www.enviro2b.com/2011/07/08/e-coli-la-filiere-bio-victime-indirecte-de-la-bacterie/
2 : http://www.lobbywatch.org/profile1.asp?PrId=88
3 : http://www.sourcewatch.org/index.php?title=Trashing_organic_foods
4 : http://en.wikipedia.org/wiki/Dennis_Avery
5 : http://en.wikipedia.org/wiki/Hudson_Institute

Lire à ce sujet l’article du Canard Enchaîné du 27 07 11 ‘Haro sur le Bio’